MIC L’ORI :
Mets toi à l’heure, c’est fini Blue Suede Shoes, pattes d’eph’
T’as rien d’un cratedigger tu connais juste Fresh news by Steph
Épargne à la terre entière ta bouse basse déf’
Tu fais le chaud mais face à la vrai chaleur, who’s bad man ?
Les actifs sur P-Booska s’perdent
Dans leur commentaires fantomatiques derrière Book Mac Air
Courage frère, tu seras p’t-être quelqu’un un d’ces 4
En attendant copie les gens si ça t’soulages mec
Critiquant ceux qui sucent mais sont tous à l’faire
Prêt à fister Bruce Banner pour un pouce grave vert
Ouaich, sois happy d’être une petite groupie, youpi
Et ne te force pas à la prière du soir si tu veux juste un boogie woogie
JAMES RES :
Qui crois tu tromper quand tu joues l’backeur ?
Dis-moi, qui crois-tu pomper dans cette foule d’acteur ?
Ton jeu de merde on le connaît tous par coeur
Range ton plastique, t’auras pas la sienne sous ce tas de leurres
V’la le concept tout pété, entre vous battez-vous
À être le clone d’un clone d’un mec qui s’en bat les couilles
Autant se balader avec écrit « marrez-vous »
Vous le savez que vous faites pitié, vous continuez malgré tout
Copycat, copie ça, déja écouté trop d’histoires
Jamais vu un sac de frappe, ça se croit déjà dans Rocky 4
Gros blizzard, trop de films, de vices dans trop de slibards
Pousse le rôle jusqu’a croiser de faux smicards
REFRAIN (RANDOM RECIPE) :
Be, boy
No sloppy floppy popular copy papi me told me be
Anything but the same boy
Wanna fine line, that’ll blind time, make your rhyme shine, kinda
Copy me, you’ll be tame, boy
Copycat, haha
Easy to want the fame boy
Take a look at a book and a hook that’ll look good boy
Original’s got to be claimed
FAB :
A copycat’s imagination is wak
The hoodrat is always the head of the pack
So if you can’t find your own then step back
And leave it to us, we innovate, you relax
The « do it yourself » is on a shelf collecting dust
Trust us 2008 was what’s up
Selfies, kazoos, tees, matching shoes
Call up MIA see where she got « paperplanes »
I ain’t sayin’ that we created the game
We just play never hated come get entertained
Fuck copy/paste, I backspace and re-write
The magic’s in reproducin’ the art you live twice
So short cuts like magasines and blogs get a life
Moderate you numb bate take a risk step outside
And find your inner-side like pullin’ a rabbit out of a hat
Roger-roger-roger don’t copy me, copy that
FRANNIE :
Simon says many things, everybody follows and agrees
No more thinking, we’re sinking, no blinking, while we Tweet it in
World is getting smaller, followers recycle Power
Flower’s in the hand of ballers with dollars copying dollars-dollars
Look twice we just rolled the dice
Started a life, free-styling for a double slice
Pepperoni I don’t do no vegetarian trend
I eat my veggies with my chicken and my brisket blend
Switch the channel yet another panel of bloggers
Sharing their bothers ’bout the world and their fathers
Like a cynical clinical miracle whippin’ of robbers
Copying others while, they acting like martyrs
BOSTON J :
Tu ressembles à qui, à lui, à toi ? Mais toi c’est lui en plus gras
Je veux les sapes à lui, la vie de roi de lui, la même femme que toi
Lui, il a la classe dans son beau clip plein de tass’, moi j’attends la prime de la CAF
Vas-y fait comme lui fait du rap
Adopte son délire c’est ce qui marche, tu t’en bats du TAF, pense au hit
La misère fait du chiffre, je suis du même avis que lui, que toi
Putain j’en sais rien, toi t’en pense quoi ? Je veux réussir à tout prix comme eux
Snober lui et lui, niquer elle puis être happy comme toi en mieux
Formidablement pitoyable
Mais qui ca, moi ? Comme ta weed je suis natural
C’est les autres qui mentent, hmm, c’est des grosses salades
C’est moi l’original, ils m’ont tous volé le copyright
ASTROKIF :
Les gens sont che-lou, ils s’inventent des vies
Ouais, je sais, ton cle-on s’appelle Stan Smith
La cuisine au nucléon, c’est gustatif
Faire croire que tu sens bon quand tu pues la pisse
Mais ça marche pas, c’est trop flagrant
Genre, je viens de Cuba, j’ai l’accent allemand
Toi, tu plonges sans le tuba, t’y vas totalement
Car l’eau dans les poumons te gêne pas vraiment
T’es trop marrant, mais trop navrant
A l’instar de ces types qui trainent qu’à 30
Je grince des dents, rêve que tu prennes ta trempe
Mais ça viendra, suffit d’attendre