Swift Guad - Tout s'arrête [tekst, tłumaczenie i interpretacja piosenki]

[Couplet 1]
Choisis tes armes, choisis ta mort
Il est trop tard c'est la panique à bord
Mets les Ray-Ban Aviator
Cacher les larmes ça c'est ma vie hardcore
Moi au départ j'étais pas trop d'accord
J'voulais prendre ma part pendant que ça collabore
D'abord, d'abord poser ça fort
Moi j'suis le toréador que les paumés adorent
Je sais qu'j'ai tort mais je pète les plombs
Car mon seul exutoire c'est de faire des sons
J'fais des mauvais tours à ma perception
Approcher un jour la vraie perfection
Nous on s'mange des coups d'pression
Si t'écoutes les mauvais, faut que t'écoutes les bons
Toutes les secondes les couplets tombent
Y'a que des fous et des cons, il faut que je coupe les ponts
Mais où est-on ? Où est-on ? Béton, bulles d'air, pollution
Rap vulgaire et production, adultère et corruption
Mais où est-on ? Où est-on ? Fini le temps des solutions
Un peu partout ça pète, la vie ça rime avec révolution

[Refrain]
Toujours cette même rengaine, ce mal qui tape dans ma tête
J'me dis que la vie est belle et que les gens n'sont pas prêts
Pourquoi ? Pourquoi j'ai autant de choses dans la tête ?
Ça part en beauté et puis un jour tout s'arrête

[Couplet 2]
Une larme au sol pour les ancêtres
Une arme de poing pour les grands traîtres
On y arrivera demain, toujours cet objectif qui reste en tête
Mon âme qui ère en peine, qui traverse les courants, les tempêtes
La coupe est vraiment pleine donc tenir debout c'est l'essentiel
Dernier moment, dernier soupir, peiner, souffrir, c'est mes souvenirs
Pour masquer la misère, faire des sourires
Sors les outils et puis baise les soucis
J'étais tout petit je voulais bouffer le monde
J'ai voulu monter haut mais j'ai touché le fond
J'ai pas compté sur les autres pour me bouger le fion
T'as l'autorisation tu peux pousser le son
Où est-on ? Où est-on ? Bavure, système, génocide
Tout ce que je consomme est nocif, violence à son paroxysme
Où est-on ? Où est-on ? Police, crise et déficit
Homicides et délits d'fuite, tous aux bords du précipice

[Refrain]